EN FORMULE TOURISTE (SUR 2 JOURS)
205 km, 4317 m de D+, 13 cols homologués.
1ère étape : Annecy - Le Grand-Bornand
- Distance : 102 km
- Dénivelé positif : environ 2300 m
- Principale difficulté : le Crêt de Chatillon, massif du Semnoz (1650 m)
Annecy, samedi matin : pointage de départ effectué, prêt à démarrer! |
Deux kilomètres de plat, ça ne laisse pas beaucoup de temps pour s'échauffer. Ensuite, on en prend pour 20 bornes! Tout ça pour gravir le Semnoz, ou si l'on préfère le Crêt de Chatillon, point culminant de ce Brevet de Randonneur des Aravis 2014.
Au sommet, on est à 1650 m d'altitude. Comme le lieu de départ à Annecy est à 450 m, le calcul est vite fait : 1200 m de dénivelé positif d'entrée de jeu!
Cette montée, nous l'avons abordée par le versant ouest, le plus difficile, celui où l'on trouve les pentes les plus fortes! On les aborde peu après la sortie de Quintal : près de 2 km à 10,5% de moyenne : ça calme!
Après ce passage difficile et un adoucissement temporaire, la suite de la montée reste exigeante : les sept derniers kilomètres sont à 8,5% de moyenne.
Le sommet, matérialisé par une belle pancarte "ARRIVÉE", était envahi de cyclos cherchant à immortaliser l'instant, ou tout simplement à reprendre leur souffle.
On redescendait ensuite jusqu'à Leschaux pour un premier "contrôle-ravitaillement".
Quelques centaines de mètres plus loin, en terminant la descente, on atteignait le Col de Leschaux (900 m). Le Semnoz n'étant pas homologué en tant que "col", c'était sympa de profiter de cette belle ascension pour engranger tout de même un nouveau col pour ma collection.
Après la côte de Puget (environ 2 km), une belle perspective sur le lac d'Annecy. Dommage que le temps ait été nuageux à ce moment-là!…
Une piste cyclable au revêtement irréprochable… De quoi me réconcilier avec les installations de ce type en France!
Voilà résumé le deuxième tronçon d'une bonne trentaine de kilomètres qui nous a conduits à Saint-Ferréol pour un nouveau "contrôle-ravitaillement".
A la sortie de Saint-Ferréol, petit halte "plaisir des yeux"…
… avant d'attaquer une nouvelle ascension de 10 km pour atteindre le Col du Marais (843 m). Au passage, on franchit le Col des Essérieux (763 m).
A priori sans difficulté, cette montée avait l'inconvénient de survenir après le Semnoz et sur des jambes lourdes... très lourdes.
Au passage du col, je me suis retrouvé avec des cyclos de Ville d'Avray que nous rencontrons de temps en temps sur les routes d'Île-de-France…
Ensuite, on descendait à Thônes (alt.: 620 m), où l'étape du jour se terminait pour certains, notamment Gérard Claudon et quelques membres du VCR Mandres-les-Roses, rencontrés au départ mais plus revus par la suite.
Pour ceux qui dormaient au Grand Bornand, il restait encore une quinzaine de kilomètres. Sur ce final, on enchaînait encore le Col de Saint-Jean-de-Sixt (956 m) et la montée à la station du Grand-Bornand (1050 m), soit plus de 400 m de dénivelé positif!
Autant dire que les arrêts remplissage du bidon à la fontaine ou photographie du joli cours d'eau fournissaient d'excellents prétextes pour récupérer un peu.
Pour être honnête, n'ayant pas les sensations des grands jours, je n'étais pas fâché d'arriver et de mettre les jambes au repos… Ah, la vache! Ça fait du bien de s'arrêter!
Au sommet, on est à 1650 m d'altitude. Comme le lieu de départ à Annecy est à 450 m, le calcul est vite fait : 1200 m de dénivelé positif d'entrée de jeu!
Cette montée, nous l'avons abordée par le versant ouest, le plus difficile, celui où l'on trouve les pentes les plus fortes! On les aborde peu après la sortie de Quintal : près de 2 km à 10,5% de moyenne : ça calme!
Profil du Crêt de Chatillon (Semnoz), à partir de Quintal |
Après ce passage difficile et un adoucissement temporaire, la suite de la montée reste exigeante : les sept derniers kilomètres sont à 8,5% de moyenne.
A 3 km de sommet : prochain kilomètre à 9% de moyenne! |
Le sommet, matérialisé par une belle pancarte "ARRIVÉE", était envahi de cyclos cherchant à immortaliser l'instant, ou tout simplement à reprendre leur souffle.
Montée du Semnoz ou Crêt de Chatillon : l'arrivée (1650 m) |
On redescendait ensuite jusqu'à Leschaux pour un premier "contrôle-ravitaillement".
Contrôle-ravitaillement de Leschaux |
Quelques centaines de mètres plus loin, en terminant la descente, on atteignait le Col de Leschaux (900 m). Le Semnoz n'étant pas homologué en tant que "col", c'était sympa de profiter de cette belle ascension pour engranger tout de même un nouveau col pour ma collection.
Col de Leschaux (900 m) |
Après la côte de Puget (environ 2 km), une belle perspective sur le lac d'Annecy. Dommage que le temps ait été nuageux à ce moment-là!…
Le Lac d'Annecy, vu depuis Puget |
Une piste cyclable au revêtement irréprochable… De quoi me réconcilier avec les installations de ce type en France!
Piste cyclable à proximité du Lac d'Annecy |
Voilà résumé le deuxième tronçon d'une bonne trentaine de kilomètres qui nous a conduits à Saint-Ferréol pour un nouveau "contrôle-ravitaillement".
Contrôle-ravitaillement de Saint-Ferréol |
A la sortie de Saint-Ferréol, petit halte "plaisir des yeux"…
Saint-Ferréol |
… avant d'attaquer une nouvelle ascension de 10 km pour atteindre le Col du Marais (843 m). Au passage, on franchit le Col des Essérieux (763 m).
A priori sans difficulté, cette montée avait l'inconvénient de survenir après le Semnoz et sur des jambes lourdes... très lourdes.
Au passage du col, je me suis retrouvé avec des cyclos de Ville d'Avray que nous rencontrons de temps en temps sur les routes d'Île-de-France…
Au Col du Marais (843 m), avec Anne et ses copains cyclos de Ville d'Avray |
Ensuite, on descendait à Thônes (alt.: 620 m), où l'étape du jour se terminait pour certains, notamment Gérard Claudon et quelques membres du VCR Mandres-les-Roses, rencontrés au départ mais plus revus par la suite.
Pour ceux qui dormaient au Grand Bornand, il restait encore une quinzaine de kilomètres. Sur ce final, on enchaînait encore le Col de Saint-Jean-de-Sixt (956 m) et la montée à la station du Grand-Bornand (1050 m), soit plus de 400 m de dénivelé positif!
Autant dire que les arrêts remplissage du bidon à la fontaine ou photographie du joli cours d'eau fournissaient d'excellents prétextes pour récupérer un peu.
Les Villards-sur-Thônes, sur la route de Saint-Jean-de-Sixt. Le nom du cours d'eau? Le nom... (oui, c'est son nom!!!) |
Pour être honnête, n'ayant pas les sensations des grands jours, je n'étais pas fâché d'arriver et de mettre les jambes au repos… Ah, la vache! Ça fait du bien de s'arrêter!
Le Grand-Bornand : « La vache qui tourne dans le Tour du France » (inaugurée le 19 juillet 2013, à l'occasion du passage du TdeF) |
Le Grand-Bornand : Stade international de Biathlon |
Un dîner de qualité et une bonne nuit de sommeil ne seront pas de trop avant d'attaquer la seconde étape.
➜ Mon récit : dimanche 15 juin, 2e étape.
Claude
Photos personnelles
LIENS :
➜ Présentation du BCMF sur notre site.
➜ Nos participations aux Cyclo-Montagnardes sur notre site.
➜ Mon récit : dimanche 15 juin, 2e étape.
Claude
Photos personnelles
LIENS :
➜ Présentation du BCMF sur notre site.
➜ Nos participations aux Cyclo-Montagnardes sur notre site.
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