samedi 24 avril 2004

MON PREMIER 200 KM, UN BREVET AUDAX À VILLECRESNES (94)

UN BREVET QUI NE MANQUAIT PAS D'AUDAX !

Remise des cartes de route par Alain Challant

En ce samedi 24 avril 2004, sur le coup des 7h, 75 cyclos s'élancèrent de Villecresnes, parmi lesquels 18 licenciés à l'AS Brévannes, qui une fois de plus étaient venus en force pour remporter la coupe offerte au club le plus nombreux. Pour ceux qui ne connaissent pas la formule des brevets AUDAX, une petite explication s'impose. Je remercie d'ailleurs ici Claude YVAY, de l'Union des Audax Français (UAF), qui a bien voulu rouler avec quelques-uns d'entre nous, en queue de peloton, et qui a satisfait avec beaucoup de gentillesse notre curiosité de néophytes.

Tout d'abord, l'association des Audax, qui fêtait à cette occasion son centenaire, ne s'occupe pas seulement de vélo. Son principe, c'est le défi dans la plupart des sports d'endurance : vélo bien sûr avec des brevets de 100, 200, 300... 1200 km, voire davantage (il y a eu un Paris-Athènes formule Audax au moment des JO !), mais aussi marche, natation longues distances, canoé-kayak, etc. L'esprit AUDAX, c'est « On part ensemble, on arrive ensemble ! ». Et pour y parvenir, des capitaines de route, qui se relaient en tête de peloton, impriment une cadence régulière qui permet de respecter la moyenne annoncée de 22,5 à 23 km/h.

Rouler groupés

Les brevets Audax, c'est aussi une sacrée organisation* ! Outre les ravitaillements irréprochables et le plateau repas très satisfaisant, il faut signaler la présence de quatre motards qui, toute la journée, nous ont ouvert la route, arrêtant la circulation pour nous dans toutes les agglomérations ou lors des croisements de routes. De plus, une voiture-balai nous a suivis sans relâche pour, en cas de pépin mécanique ou de crevaison, accueillir les infortunés cyclos qui pouvaient ainsi réparer tranquillement dans le camion puis rejoindre le peloton sans avoir ralenti sa progression.

Le parcours était très agréable : nous avons d'abord rejoint Barbizon après un petit passage sur les bords de Seine (Saintry, Ponthierry...). Premier ravitaillement un peu après Barbizon, sur les hauteurs des Gorges d'Apremont, vers le 52e kilomètre.

Ravitaillement en forêt de Fontainebleau

Ensuite, traversée de la forêt de Fontainebleau et cap sur Voulx, en passant par Nanville et Lorrez-le-Bocage. Deuxième ravitaillement à Voulx, à peu près à mi-parcours (km 101), suivi d'une petite incursion dans l'Yonne pour une étape “repas” à la Base de Loisirs de Villeneuve-la-Guyard, après 125 km parcourus. Retour en Seine-et-Marne l'après-midi, par Marolles-sur-Seine et Coutençon, jusqu'au troisième ravitaillement, situé à Blandy-les-Tours (km 171). Et dernier tronçon pour rejoindre Villecresnes par Soignolles et Brie-Comte-Robert. Kilométrage final : 203 km.

Ravitaillement de Blandy-les-Tours

Question météo, nous avons eu beaucoup de chance car il a fait un temps magnifique en cette fin avril. Si l'on en croit nos amis du Vélo Sportif Villecresnois, « quand le temps est favorable, le brevet Audax devient une formalité »... C'est une jolie formule, mais pas une réalité pour tout le monde ! Nous étions nombreux à être néophytes sur la distance. Et mon avis sur la question est que, pour bon nombre d'entre nous, ce ne fut pas un mince exploit que de parcourir ces 200 kilomètres.

Au chapitre des exploits, je citerai d'abord, honneur aux dames, notre féminine de poche, Christine Mailfait, l'une des deux féminines engagées, récompensée par une belle coupe bien méritée. Je citerai ensuite mon copain vététiste Christophe Perdrisot qui a fait les 200 bornes sur son VTT, certes avec des pneus « slicks », mais quand même, il faut le faire ! Bravo aussi à Alain Boidé et Daniel Habert, peu préparés pour l'aventure, mais qui ont tenu à tenter le coup : ils ont fait 120 bornes sur le vélo avec un intermède dans la voiture, et ils ont fait le dernier tronçon avec nous sur le vélo, au courage. Autre exploit et pas des moindres : malgré une chute en sortant de chez lui et une douleur vive au bras, Alain Jean-Joseph a tenu à nous honorer de sa présence. Il a fait les 200 bornes, plus le trajet aller-retour de son domicile à Villecresnes, le tout sans se plaindre. Après nous avoir ébloui par son Paris-Brest-Paris en compagnie de Michel Sorel, l'Iron-Man a su nous montrer qu'il savait aussi être grand dans l'adversité et la douleur ! D'autant qu'il a appris quelques jours plus tard qu'il avait une fracture !

Dans un genre moins dramatique, bravo aussi à Gérard Guitet qui a tenté le régime sans selle, mais qui est cependant vite revenu à la raison après un petit tour dans le camion. Félicitations particulières à Maryan qui a réussi, au prix d'un effort total, à réintégrer le peloton après un arrêt pipi solitaire ! Et chapeau à “Monsieur” Didier Panchout pour avoir su rester en notre compagnie toute la journée alors qu'il était capable de rouler au moins trois fois plus vite ! D'ailleurs, il nous l'a promis, l'année prochaine, il fera l'une des motos ouvreuses, mais en vélo.

Quant à moi, je suis fier d'avoir pulvérisé mon record personnel de distance. Au cours des vingt-cinq dernières années, je n'avais atteint les 100 km qu'une seule fois, quelques semaines avant le brevet, en compagnie de Michel Mordelet. Et même quand j'étais jeune et fringant, je n'avais jamais osé rêver de parcourir un jour 200 kilomètres sur mon vélo. Cela me paraissait inaccessible, presque mythique. Alors quand j'ai vu que mon compteur affichait “160”, chiffre symbolique puisque c'était mon précédent record personnel, établi lorsque j'avais 20 et quelques années et pas encore de cheveux blancs, j'ai ressenti une profonde joie. Les 40 derniers kilomètres m'ont paru durs, surtout pour le dos et même... un peu plus bas ! Mais ce que je redoutais le plus à ce moment là, c'est une crevaison ou un pépin mécanique qui m'auraient obligé à monter dans le camion et m'auraient privé de la fierté d'avoir fait tout le parcours sur mon vélo. A l'arrivée, j'ai ressenti une profonde satisfaction, un état d'euphorie bien agréable. La fatigue ? Pas à ce moment-là ! J'étais trop content !

Centenaire des Audax en France

Pour nous récompenser, et nous constituer un beau souvenir, les organisateurs nous ont remis à l'arrivée, en plus des coupes habituelles, un beau trophée à chaque participant avec une inscription “AUDAX DU CENTENAIRE 1904-2004”. Et quelques semaines plus tard, nous avons reçu notre brevet ainsi qu'une médaille créée tout spécialement pour l'occasion et tirée à 75 exemplaires, “une pièce de collection” comme dit le compte-rendu fait par le VSV et remis aux participants en même temps que la médaille. Merci pour l'ensemble de leur œuvre à Alain Challant, président du VSV et du CODEP 94, et à toute son équipe de bénévoles.

Bref, pour les habitués des grandes distances ou pour les néophytes, le brevet Audax, c'est un grand moment, et je ne saurais trop vous conseiller de tenter l'aventure. L'année prochaine, le Vélo Sportif Villecresnois a décidé de renouveler l'expérience. Alors, retenez dès à présent la date : rendez-vous à tous le samedi 23 avril 2005, pour participer ensemble au Brevet Audax !

Claude
Photos de l'organisation

* Note: J'ai appris depuis qu'en principe, en dehors du repas de midi, la formule Audax ne comporte pas de ravitaillements et très rarement un accompagnement avec des motards. Ce sont des initiatives spécifiques aux organisateurs de cet Audax des 3V. (Claude, 2012)


Petit discours d'Alain Challant, organisateur et président du CoDep 94

dimanche 12 octobre 2003

RALLYE VTT DU PLESSIS-TRÉVISE (94)

Nous étions 294 participants, dont 4 de l’AS Brévannes : Christophe Perdrisot, Michel Le Goïc, Eric Pingard et moi (5 si l’on compte Maxime, le fils de Christophe, âgé de 8 ans, qui a en outre gagné la coupe décernée au plus jeune! Et qui a fait deux fois le petit parcours, soit environ 35 km!).

Nous avons ramené une coupe, offerte au 3e club le plus nombreux. Le premier club comptait 19 inscrits, le 2e (Montgeron), 5.

Le grand parcours était annoncé à 50 km mais il faisait en réalité moins de 45! C'était un parcours très roulant, sans la moindre côte. Eric et moi avons été accompagnés par Pascal Robert, de Brunoy, qui viendra peut-être nous rejoindre au club, qu’il a découvert à l’occasion de notre rando du 18 mai dernier… Une rando qu’il n’a d'ailleurs pas terminé puisqu’il s’est cassé la clavicule dans une descente traîtresse du côté de Santeny!

21 km/h de moyenne quand même pour Eric, Pascal et moi. Quand je vous disais que c’était roulant!

Claude

dimanche 28 septembre 2003

WEEK-END VTT : GAMELLE TROPHY 2003

SILLÉ-LE-GUILLAUME, SARTHE
SAMEDI 27 ET DIMANCHE 28 SEPTEMBRE 2003


L'affiche officielle
Samedi 27 septembre

La journée commença mal... pour le chauffeur! Attendu à Limeil-Brévannes pour 8h15, il se présenta au départ à... 7h15! conformément à son ordre de mission. Inutile de dire qu'à cette heure-là, il n'a pas rencontré grand monde, vu que pour nous, le rendez-vous était à 8h30. Mais le chauffeur retrouva le sourire lorsqu'il découvrit la bande de joyeux lurons qu'il avait à convoyer!

Quand tout le monde fut prêt, Michel se mit au volant de la camionnette, et nous avons donné l'ordre au chauffeur de le suivre de près! Il n'était pas question de le laisser déjà s'échapper... et avec nos vélos, en plus!

Après un détour par Villecresnes pour récupérer nos partenaires de l'ASPTT Paris, une vingtaine de personnes environ, nous avons pris la route du Mans. Trajet sans histoire! Ou plutôt si! Avec des histoires, mais des histoires drôles, pour que le temps passe plus vite! Bref. Nous voilà donc bientôt rendus sur le lieu de nos futurs exploits!

Nous passerons la nuit à l'Abbaye de Champagne, un gîte et ferme auberge entre Le Mans et Sillé-le-Guillaume, sur la commune de Rouez-en-Champagne, qui n'est d'ailleurs pas du tout en Champagne, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Non, nous sommes tout près des Alpes Mancelles... qui ne sont pas non plus dans les Alpes!... A ce propos, mon encyclopédie me permet de vous donner quelques précisions : les Alpes Mancelles, c'est l'autre nom des monts Coëvrons, au Nord-Ouest du Mans. Ces monts se trouvent à cheval sur la Sarthe et la Mayenne. Le haut sommet du coin, c'est le Signal des Avaloirs qui, du haut de ses 417 mètres est le point culminant du Massif Armoricain, ce qui explique que le relief de la région soit plutôt accidenté. Bon, d'accord, ce n'est pas le Jura, mais quand même! C'est plus vallonné que la Brie!

Si les noms du patelin et de la région semblaient venus d'ailleurs, en revanche, le menu du samedi midi était bien du pays! Que des produits du terroir, du vrai, de l'authentique! Soupe de légumes, rillettes, poulet et lapin en sauce, cidre, etc. Tout ou presque venait de la ferme-auberge, et c'était bien bon!

Dans l'après-midi, tout le monde manifesta le désir de partir en repérage. On n'était quand même pas venus là pour faire la sieste! On a donc préparé les vélos et en route pour une petite promenade digestive! Après 14 kilomètres sur route, et une première traversée de Sillé-le-Guillaume, nous arrivons sur le site de départ de la rando. Ces quatorze bornes furent suffisantes pour nous rendre compte que les côtes du coin, c'était pas du toc! Nous avons compris aussi qu'il vaudrait mieux, le lendemain, nous rendre au départ... en car et non en vélo comme nous l'avions d'abord envisagé!

En attendant la rando du dimanche, c'était bien sympa de retrouver sur la route toute cette marée jaune: les jaunes et verts de l'AS Brévannes, et les jaunes et bleus de l'ASPTT Paris. En tout, une grosse vingtaine de vététistes, avec en plus deux tandems!

Sur place, quelques belles surprises nous attendaient: courses de jeunes, animations, spectacles, démonstration de trial et autres acrobaties à vélo... C'était plus du cirque ou du music-hall que du vélo, mais c'était impressionnant. Nous avons pu également apprécier une petite séance d'autographes distribués par Laurence Leboucher, une vététiste sarthoise au palmarès prestigieux, avec notamment trois titres de championne d'Europe VTT et deux titres de championne du monde, l'un en VTT en 1998, l'autre en cyclo-cross en 2002. Merci à elle pour son poster dédicacé à l'intention de tous les cyclos et cyclotes de l'AS Brévannes!

Pendant que nous prenions du bon temps sur les routes sarthoises, quelques volontaires de l'ASPTT Paris ont profité de notre absence pour faire les courses pour tout le monde, afin d'assurer le repas du soir, le petit déjeuner du lendemain et le repas froid du dimanche midi. Ils ont tout prévu! Grand merci à eux! C'était royal!

Le site de départ

Dimanche 28 septembre

En dépit de certains ronflements intempestifs (je ne nommerai personne!), la nuit a fini par se terminer et, après les préparatifs qu'on imagine, le moment tant attendu est arrivé. Sous un petit crachin rafraîchissant, tout le monde a récupéré sa belle plaque de cadre rose avec son numéro, et une fois réunis les dix engagés de l'AS Brévannes, nous voilà partis! Michel Mordelet, Alain Desprez, Éric Pingard, Lionel Bouillaguet, Cyril (un copain de Lionel), Christophe Perdrisot, Sébastien Vétel, Éric Dénos, Gérard Guittet et moi (Claude).

Profil

Au départ, nous pensions bien effectuer les 50 km du circuit le plus long. En définitive, compte tenu de notre moyenne horaire et de l'heure du rendez-vous avec nos partenaires de l'ASPTT Paris, nous n'avons pu faire que 40 km! Mais la distance fut suffisante pour bien nous user, les uns et les autres. Moins de 12 km/h de moyenne, sans compter les arrêts: ce n'était pas le T.G.V.! Et pourtant on n'a pas musardé en chemin! A titre de comparaison, et pour permettre à nos amis routiers d'apprécier la difficulté de la Gamelle Trophy, au rallye du Plessis-Trévise, et sans vraiment se défoncer, nous avons fait 45 km à 21 km/h de moyenne. Mais c'était du grand plat bien roulant! En fait, sur les 40 km de la Gamelle, il y avait 990 mètres de dénivelé positif, ce qui est déjà costaud. Mais en plus, les descentes étaient dures, techniques, pleines d'ornières et de racines, ou bien trop raides pour pouvoir les jouer décontracté... Et les zones de terrain plat, me direz-vous? Eh bien, à part les deux ou trois kilomètres du début pour s'échauffer quand même un peu, il n'y avait pratiquement pas de portions plates ou alors, c'était de la "tôle ondulée", ou du terrain rocailleux, ou des bandes étroites avec des ornières de chaque côté et des racines au milieu! Bref, rien de vraiment roulant où l'on puisse relâcher un instant son effort. Il fallait sans cesse appuyer sur les pédales, tout en restant vigilant à cause des obstacles naturels permanents. Quant à la fin, une variante réservée aux “Gros Mollets”, avec une accumulation de creux et de bosses comme sur un parcours de bi-cross, permit à ceux qui en avait gardé un peu sous la pédale de finir de se vider les tripes.

Parcours

En conclusion, ce fut une très belle rando, taillée sur mesure pour les costauds. Même Michel a trouvé que c'était dur, c'est dire! Et sur ce parcours exigeant, nous avons pu apprécier la forme et l'efficacité d'Alain, la force de Michel, la technique et le punch de nos petits jeunes, mais surtout, un qui nous a bien impressionnés, c'est le Gérard. On aurait dit qu'il avait fait du VTT toute sa vie. Ah, il ne faisait pas semblant le bougre! Même que dans une descente où tout le monde mettait pied à terre, on a bien cru qu'il allait la faire sur son vélo, lui. Un vrai chamois!

Au chapitre des grandes satisfactions de cette rando, il faut ajouter les paysages superbes et variés, quelques belles photos pour se souvenir, et surtout : ni crevaison, ni incident mécanique! En outre, passées les première minutes un peu humides, le temps fut bien plus favorable que prévu! Et on a même eu du soleil sur la ligne d'arrivée! (Il y en avait peut-être avant, mais je n'ai pas fait attention car j'avais le nez dans le guidon!) De plus, au premier ravito, les anciens du club ont eu la bonne surprise de retrouver leur copain Christophe, qui a fait la suite du parcours avec nous. Il faut dire qu'avec nos belles casaques jaunes et vertes, il n'a eu aucun mal à nous repérer, malgré le monde qui fréquentait l'endroit!

Naturellement, on a tous envie d'y retourner l'année prochaine pour tenter le 50 km, mais si on ne va pas plus vite que cette année, il faudra partir de bonne heure! En attendant, nous adressons nos remerciements les plus vifs à l'AS Brévannes pour le financement de cette magnifique excursion. Merci aussi à la municipalité pour le prêt du véhicule qui a servi à transporter les vélos. Un grand merci à nos partenaires de l'ASPTT Paris, dont nous avons beaucoup apprécié la compagnie. Et enfin, un immense merci à Michel qui, avec sa discrétion et son efficacité habituelles, a veillé à tout et s'est débrouillé comme un chef pour que cette sortie annuelle soit une totale réussite! Vivement l'année prochaine pour qu'on recommence!

Claude
Photos de l'organisation

Michel Mordelet et Gérard Guittet

Lionel Bouillaguet et Sébastien Vétel

Claude S. et Éric P.

Alain Desprez et Christophe Perdrisot

Éric Dénos

dimanche 30 mars 2003

VTT : LA JEAN RACINE, À SAINT-RÉMY-LÈS-CHEVREUSE (78)

Plus de 1700 participants, parmi lesquels Lionel B. et moi, qui avons fait le parcours le plus long. Nous étions les seuls Brévannais à avoir fait le déplacement.

Les organisateurs annonçaient 55 km, mais à l'arrivée, nous avions environ 60 km au compteur!

Claude (photo organisation)

Le parcours, tracé sur les flancs de la Vallée de Chevreuse, était très vallonné! Je suis content d'avoir pu faire toutes les montées sans mettre pied à terre, ce qui n'était pas le cas de tout le monde.

Pour ma part, je me suis régalé.

Claude
Photo de l'organisation